New revelation about Emiliano Sala

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New revelation about Emiliano Sala

Postby meli2302 » Wed Mar 13, 2019 1:33 pm

New revelation about Emiliano Sala in Ouest France:

https://www.ouest-france.fr/sport/footb ... er-6257393

Translation: https://www.google.co.uk/search?q=trans ... e&ie=UTF-8

Emiliano Sala. Cardiff, ce transfert qui ne le faisait pas rêver

Le buteur du FC Nantes a longtemps ignoré l’intérêt du club gallois. Pendant un an, il a même espéré un signe de son club avant d’aspirer à un avenir européen.

C’est un prélude à l’été et au temps qui s’étire. C’est un soir de mai 2018, au mercure agréable et à l’atmosphère légère. C’est le clap de fin d’une saison de Ligue 1, un interminable feuilleton, qui sacre dans l’ivresse les champions et éteint les derniers espoirs de ceux qui bataillaient en queue de peloton, plongés dans une nuit de détresse. Le FC Nantes est loin de tout ça. Il n’a plus rien à rêver, ni à craindre depuis un moment. En battant Strasbourg à la Beaujoire (1-0), il consolide, en élève moyen, sa 9e place et achève l’exercice sur une bonne note.
En zone mixte, l’ambiance ressemble à celle d’une fin d’année scolaire, un temps de séparation où se mêlent l’euphorie d’un été à venir et l’incertitude de se retrouver à la rentrée. C’est dans ce couloir étroit, avec vue sur le vestiaire visiteur, que les journalistes tendent les micros aux joueurs tout au long de l’année. On dit au revoir à Claudio Ranieri, on disserte avec Samuel Moutoussamy sur les vacances à venir.
L’introverti Emiliano Sala, qui n’apprécie guère l’exercice, prend cette fois soin de s’arrêter. On écoute ses propos avec la conviction qu’on ne le reverra pas, que l’avenir du meilleur buteur des Jaunes s’écrit désormais loin de la Cité des Ducs. Il prend les paris, nous laisse avec son ombre tirant sa valise et l’écho de ce timbre de voix délicieux. « Vous verrez, je serai là à la reprise. »
On ne le sait pas, mais l’attaquant argentin est déjà tiraillé par des sentiments contraires. Il rêve d’ailleurs, faute de réaliser ses espoirs ici. « Ça lui faisait mal de quitter Nantes, confie Alan Boschero, un de ses meilleurs amis argentins, qui a évolué avec lui au centre de formation de Proyecto Crecer. [/i]Nantes, c’était sa maison.[/i] » La métaphore est aussi juste que réelle. Depuis ses 15 ans et son départ du cocon familial, Emiliano Sala est un globe-trotter du ballon rond.
À Bordeaux, où il débarque à 20 ans, il était trop jeune pour poser définitivement ses bagages. À Orléans et Niort, où il reste un an, et puis à Caen où il passe six mois, les clubs étaient trop éloignés de ses ambitions, les séjours trop courts pour s’imaginer un avenir.
Nantes lui a donc offert du temps et des rencontres. Au-delà du football. Dans le vignoble, il a l’oreille attentive de Marie-Jeanne. À Carquefou, il reçoit les conseils bienveillants de Michel Auray, peut toujours compter sur la disponibilité de Lydie et Jean-Philippe Roussel. « Ici, il avait ses repères », résument ses amis coiffeurs. Des relations si longues à nouer qu’elles deviennent si précieuses.
Emiliano Sala en a conscience. C’est aussi pour cela qu’il espère d’abord prolonger son bail avec les Canaris. Auteur de sept réalisations et deux passes décisives en janvier 2018, « Salagoal » réalise alors son meilleur début de saison en Ligue 1. Impliqué dans près de la moitié des buts nantais, son influence dans le rendement offensif de son équipe est devenue primordiale. Surtout, à chaque fois, ses buts rapportent gros, près d’un tiers des points amassés par le FC Nantes, l’un des meilleurs ratios parmi les attaquants évoluant en Europe.
Pour la première fois, le club va manifester une volonté de conserver son buteur, en ouvrant une réelle négociation. Autour de la table, les positions de chacun sont encore très éloignées, notamment sur le salaire. Ce premier échange tourne court et reste même sans lendemain. Surtout, il génère un climat de défiance et une profonde amertume, qui ne cessent de grandir au fil du temps, lui qui avait déjà le sentiment que le clan Kita ne l’avait pas désiré à l’été 2015.
Pour comprendre sa déception, il faut remonter au printemps 2017. L’entraîneur Sergio Conceiçao réveille des Canaris moribonds, à qui l’on promettait la Ligue 2 et qui échouent finalement aux portes de l’Europe. Le FC Nantes doit rapidement ouvrir des négociations avec neuf joueurs, arrivés à un an du terme de leur contrat et susceptibles de partir libres (dont Dubois, Thomasson et Djidji). Il doit aussi sécuriser les contrats de ses meilleurs éléments. Les dirigeants nantais investissent notamment lourdement dans les prolongations de Valentin Rongier, Lucas Lima et Diego Carlos. Ces trois cadres du vestiaire ont tous étiré leur engagement jusqu’en 2022, avec, à la clé, d’importantes revalorisations salariales. Tous, sauf Emiliano Sala.
À Nantes, ce n’est pas un mystère, le joueur vit très mal cette situation, éprouvant même un sentiment d’injustice au regard de ses performances. Il s’apprête à boucler deux saisons à douze buts, ce qu’aucun attaquant des Jaunes n’avait réussi depuis Olivier Monterrubio, il y a dix-sept ans. « Vu d’Argentine, on ressentait le fait que Nantes ne le valorisait peut-être pas à la hauteur qu’il méritait, confirme Alan Boschero. Tout ce qu’il a eu dans sa vie, il l’a gagné et personne ne lui a fait de cadeau. Tout s’est fait à force de travail et de sacrifices. »
Avec 40 000 € par mois, le salaire d’Emiliano Sala est loin des standards des attaquants de Ligue 1, plus proches d’un bulletin à six chiffres. Au FC Nantes, il est aussi trois fois moins important que celui de sa doublure, Kalifa Coulibaly, arrivé l’été précédent. Il est même en dessous du salaire médian du championnat (47 000 €, hors PSG).
Le système de primes qui lui a été temporairement accordé en fin de saison 2018 a davantage nourri l’espoir d’une régularisation future qu’il n’a réduit l’écart. Sa suppression l’été suivant a ajouté à l’incompréhension, d’autant que la seule offre de revalorisation qui lui a été transmise, si elle double son salaire, reste encore loin des émoluments de certains défenseurs centraux de l’équipe. À l’automne dernier, cet homme pudique, qui n’a pas pour habitude d’étaler publiquement ses états d’âme, surtout d’ordre financiers, ne parvenait d’ailleurs plus à masquer son mal-être. « Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression que je dois prouver encore et toujours. C’est ce que les gens me font comprendre. »
Car le mercato de l’été 2018 n’a pas atténué son ressentiment. Si, comme il l’avait annoncé, Emiliano Sala a bien retrouvé les chemins de la Jonelière, il ne s’illusionne plus sur ses chances de prolonger l’aventure nantaise. « Il a vécu cette période comme un cauchemar », rembobine Lydie. Il est même très remonté contre Waldemar et Franck Kita.
Au début du mois d’août, la direction du FC Nantes a en effet mandaté des agents pour le placer en Italie et démarcher l’Udinese, la Lazio et la Sampdoria, en espérant récupérer 12 millions d’euros. « On lui envoie le signal qu’il doit partir, raconte un ami argentin. Pour lui, c’était très décevant. »
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Dans le conflit permanent de la logique sportive et économique, le FC Nantes a tranché. Dans l’effectif des Canaris, ils ne sont pas légion à pouvoir faire exploser le compte en banque et assurer les lendemains du club. Il y a Diego Carlos, Valentin Rongier et Emiliano Sala. Des trois, le buteur argentin, 28 ans, est le plus âgé, mais aussi celui dont la valeur marchande apparaît comme la plus fragile aux yeux des dirigeants nantais. À cette période, ils ont acquis la certitude qu’ils ne pourront réaliser une plus-value aussi importante à l’avenir, d’autant qu’il leur faut reverser à Bordeaux, son précédent club, 50 % du montant encaissé, une clause qui avait été intégrée pour faire baisser le prix d’achat du buteur argentin, en 2015.
Ils ne sont plus les seuls à avoir acté un départ de l’attaquant de Progreso. Emiliano Sala est désormais prêt à faire ses valises, mais pas n’importe où. C’est sans doute son dernier challenge avant un retour en Argentine. Il rêve de disputer une compétition européenne, de se confronter au haut niveau. Il a d’ailleurs repoussé en janvier 2018, malgré son attirance pour la Premier League, une offre de Brigthon, alors menacé de relégation et qui avait mis 10 millions d’euros sur la table. Il a aussi décliné des propositions exotiques en Chine.
Il a, en revanche, porté de l’intérêt à l’approche de Galatasaray, champion sortant de Turquie et qualifié pour la Champions League, unique courtisan correspondant à ses attentes. Le FC Nantes n’avait, par contre, aucun avantage à laisser filer à la fin août 2018 son goléador sans en tirer de revenus, le club stambouliote ayant seulement formulé une offre de prêt. Mais dans le contexte d’alors, l’épisode laisse des traces. Au point qu’Emiliano Sala demande au coach Miguel Cardoso de ne pas effectuer le voyage en Alsace, où les Jaunes, sous pression et qui n’ont pas remporté un seul de leurs trois premiers matches de la saison, affrontent pourtant Strasbourg dans une rencontre cruciale.
Ce 1er septembre 2018, il figurera bien dans le groupe et inscrira même le but de la victoire (2-3), célébré avec une main sur la bouche. « Je n’étais pas bien, pas heureux, confie-t-il à L’Équipe , en revenant sur ce moment. Ce match, je le vis mal. Ce geste, ce n’est pas pour polémiquer, mais pour que les gens comprennent ce que j’ai ressenti. » Et quand le journaliste lui demande pourquoi il n’est pas allé au clash à cette période, il répond, ferme : « Ce n’est pas dans mon caractère, je pense que chacun a sa conscience. Chacun a ses réflexions et dort avec ça. »
L’entrée en jeu de Willie McKay, aux méthodes décriées, ne va pas favoriser les avancées de ces dernières, ni un retour à la raison. Souvent inquiété, mais jamais condamné, cet intermédiaire fort en gueule est le roi des deals improbables. Pour les clubs français, c’est un accès rapide vers le très lucratif marché britannique et un recours pour dénouer, à très bon prix, les dossiers les plus inextricables. En novembre 2018, il démarche Waldemar Kita. « C’était la première fois que je le rencontrais, raconte l’agent écossais. On a discuté de quelques joueurs à vendre. Il ne voulait pas lâcher Sala, mais c’était le seul qui pouvait nous intéresser. »
Depuis l’arrivée de Vahid Halilhodzic sur le banc des Jaune et Vert en octobre, l’avant-centre flambe sur le terrain et n’a jamais été aussi « bankable ». Plus économe dans ses courses, plus précis dans ses remises, il est aussi plus efficace devant le but adverse. Avec douze réalisations en décembre, il est le meilleur buteur de Ligue 1 avec Mbappé, et devance même l’Argentin Messi dans les classements européens.
En coulisses, l’avenir d’Emiliano Sala fait l’objet d’une véritable partie de poker menteur. Willie McKay a fait miroiter au FCN une possible rentrée de 28 millions d’euros quand « coach Vahid » assure au joueur à trois reprises, et jusqu’au début du mois de janvier, qu’il recevra une offre de prolongation. « Si Kita lui avait dit : “on révise ton salaire”, je suis sûre qu’il serait resté », affirme Marie-Jeanne.
L’offre du FC Nantes n’arrivera jamais. Au contraire. Avant le match de l’OM, tournant de la saison (3-2, le 5 décembre), le président Kita s’adresse au joueur : « Ce soir, tu joues ton avenir. C’est ton grand soir. » Emiliano Sala, héroïque sur la pelouse, comprendra après la rencontre qu’il ne s’agit pas de son futur en jaune.
Dans les tribunes, a pris place Neil Warnock, entraîneur de Cardiff, qui a jeté son dévolu sur l’Argentin pour réveiller l’avant-dernière attaque de Premier League, menacé de relégation. Il va longtemps fermer la porte à toute discussion. Il a les cartes en main et le temps joue pour lui. Dans un an, il aura même la possibilité de s’engager librement dans le club de son choix.
Sa position ne change pas après les fêtes de fin d’année, malgré la pression exercée par les Gallois. Le 6 janvier 2019, Willie McKay lui envoie un long mail (1), assurant que Cardiff le « veut vraiment » et le mettra dans les meilleures dispositions, comme s’il était aussi important que « Drogba ou Shearer ». « Cardiff croit en toi. Neil m’a dit que tu marquerais plus facilement qu’avec Nantes car tous les joueurs n’auront qu’un seul objectif : te transmettre la balle dès qu’ils l’auront. » Dans l’opération séduction, l’Écossais évoque un salaire, hors primes, de 57 000 € par semaine, plus que ses émoluments mensuels au FC Nantes. Il supplie le joueur : « Cardiff peut mettre un jet à ta disposition pour venir te chercher. Tu n’auras pas besoin de signer, mais écoute ce qu’ils ont à dire. »
Il accordera cinq minutes d’entretien à la délégation galloise, venue une nouvelle fois le superviser, le 8 janvier, contre Montpellier (2-0). « Par politesse. » Il refusera le jet, jusqu’au dimanche 13 janvier.
Ce jour-là, les Canaris ont encore été plumés par Rennes dans le derby (0-1). Dans les salons de la Beaujoire, où les salariés sont réunis pour les vœux, plusieurs témoins surprennent un vif échange entre le président Kita et Emiliano Sala, invité à saisir « la chance de sa vie ». Le joueur rentre furieux à son domicile et annonce son départ à ses amis. « Il a eu l’impression, que s’il avait ses valises, on le faisait monter dans la voiture. »
Direction Cardiff, qu’il visite le lendemain, provoquant la colère de Vahid Halilhodzic, avant de signer un contrat de trois ans et demi, vendredi 18 janvier. Le FC Nantes, lui, doit percevoir 17 millions d’euros, auxquels s’ajoutent 2 millions de bonus, conditionnés au maintien des Gallois en Premier League, mais aussi 20 % du montant d’une éventuelle revente du joueur.
« Il était heureux et fier. Il allait jouer contre Arsenal. » Emiliano Sala allait goûter à l’ambiance du plus grand championnat au monde, à défaut de joutes européennes. Il mettait fin, surtout, à une année de spéculations sur son avenir. « Il était aussi lessivé que lassé », dit Jean-Philippe. Comme si tout était allé trop vite. Comme s’il tentait de se rassurer et de chasser les doutes.
Le vendredi 18 janvier, au petit matin, avant de se rendre au Pays de Galles, il laisse un message de deux minutes à Marie-Jeanne. La voix est mélancolique. Il quitte davantage qu’une ville et un club : « Bon Marie, pour te dire que tout s’est accéléré hier soir […]. Je pars. Ouch… C’est chaud, mais c’est comme ça, soupire-t-il. C’est arrivé plus vite que ça. Beaucoup d’émotions, j’ai pas dormi hier soir […]. En tout cas, je pars. De toute façon, je pars quelques milliers de kilomètres plus loin, mais rien ne changera. »

QUESTION: Was Sala forced to move to Cardiff?
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Re: New revelation about Emiliano Sala

Postby 2blue2handle » Wed Mar 13, 2019 1:43 pm

No
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Re: New revelation about Emiliano Sala

Postby bluesince62 » Wed Mar 13, 2019 6:07 pm

From reports at the time,I believe the move was orchestrated, mainly by the nantes owner,it was reported that both sala,nor his manager at nantes wanted a move at the time :?: and we all know the bullshit poor emiliano was fed by McKay, to push him into the transfer :banghead: so in a perverse kind of way,imho he was pushed (as force is too strong a word) into moving. :old: :bluebird:
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Re: New revelation about Emiliano Sala

Postby meli2302 » Thu Mar 14, 2019 4:06 pm

bluesince62 wrote:From reports at the time,I believe the move was orchestrated, mainly by the nantes owner,it was reported that both sala,nor his manager at nantes wanted a move at the time :?: and we all know the bullshit poor emiliano was fed by McKay, to push him into the transfer :banghead: so in a perverse kind of way,imho he was pushed (as force is too strong a word) into moving. :old: :bluebird:


The coach of Nantes spoke at the time of blackmail.

https://www.20minutes.fr/sport/2431687- ... isode-sala
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Re: New revelation about Emiliano Sala

Postby bluesince62 » Fri Mar 15, 2019 12:17 am

meli2302 wrote:
bluesince62 wrote:From reports at the time,I believe the move was orchestrated, mainly by the nantes owner,it was reported that both sala,nor his manager at nantes wanted a move at the time :?: and we all know the bullshit poor emiliano was fed by McKay, to push him into the transfer :banghead: so in a perverse kind of way,imho he was pushed (as force is too strong a word) into moving. :old: :bluebird:


The coach of Nantes spoke at the time of blackmail.

https://www.20minutes.fr/sport/2431687- ... isode-sala

Interesting read,strengthens my opinion, poor boy was a pawn :sad7: wouldn't the owner have profited to the tune of 1.5m :?: so sad that people like this exist in all forms of business, always a patsy to blame :banghead:
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